Publié le lundi 16 décembre 2019 à 14h38
Un menu végétarien une fois par semaine pour nos bouts de choux
Suite aux obligations législatives imposant un menu végétarien une fois par semaine à partir du 1er novembre 2019, la Commune s’est adaptée.
Qui est concerné ?
Tous les établissements publiques et privés du 1er et 2nd degré, c’est-à-dire les écoles maternelles et primaires. Cela représente environ 400 repas par jour. Y’a-t-il un surcoût ? Non. Ce genre de prestation rentre dans le cadre du marché alimentaire déjà passé par la Ville avec le prestataire, qui privilégie d’ailleurs le bio et le local.
Y’a-t-il des risques de carences pour les élèves ?
Non, c’est impossible. Tous les menus proposés sont soumis à un examen informatique qui calcule les valeurs nutritionnelles et l’équilibre alimentaire. Dans le cadre du menu végétarien, les protéines animales sont remplacées par des protéines végétales, mais aussi des oeufs et des produits laitiers.
Comment sont perçus ces menus ?
Les responsables de production au restaurant scolaire remarquent assez rapidement les enfants qui ont l’habitude de consommer, chez eux, des légumes et des céréales. Pour certains, la consommation par exemple du boulghour a été une découverte. Tout le monde a goûté. Pour les élèves de maternelle, il est simple d’introduire des nouveautés culinaires.
Les retours des parents et des enfants sont donc positifs !
Qui est concerné ?
Tous les établissements publiques et privés du 1er et 2nd degré, c’est-à-dire les écoles maternelles et primaires. Cela représente environ 400 repas par jour. Y’a-t-il un surcoût ? Non. Ce genre de prestation rentre dans le cadre du marché alimentaire déjà passé par la Ville avec le prestataire, qui privilégie d’ailleurs le bio et le local.
Y’a-t-il des risques de carences pour les élèves ?
Non, c’est impossible. Tous les menus proposés sont soumis à un examen informatique qui calcule les valeurs nutritionnelles et l’équilibre alimentaire. Dans le cadre du menu végétarien, les protéines animales sont remplacées par des protéines végétales, mais aussi des oeufs et des produits laitiers.
Comment sont perçus ces menus ?
Les responsables de production au restaurant scolaire remarquent assez rapidement les enfants qui ont l’habitude de consommer, chez eux, des légumes et des céréales. Pour certains, la consommation par exemple du boulghour a été une découverte. Tout le monde a goûté. Pour les élèves de maternelle, il est simple d’introduire des nouveautés culinaires.
Les retours des parents et des enfants sont donc positifs !